Dissocier la trame 3D & les spirales 3D & 5D

Cet article s’adresse à ceux qui ont déjà lu :

La ”Spirale 3D” et la ”trame 3D”


Ces deux appellations représentent la même chose : les 3D qui s’étendent à l’infini dans la 5D, en superposant cette dernière. Dans les deux cas, elles soulignent l’impossibilité de rejoindre la 5D par le chemin d’un parcours à travers l’espace et le temps par les 3D. Ainsi, bien que les 3D soient parfaitement superposées à la 5D et deviennent la 5D lorsqu’elles sont considérées dans l’intégralité de l’univers, la ”trame 3D” ou la ”Spirale 3D” représentent toujours l’impossibilité de rejoindre une distance infinie depuis n’importe quel endroit de l’univers. C’est précisément lorsque l’on tente de s’extraire des 3D pour rejoindre la 5D par le parcours que cette sortie des 3D devient inatteignable, et c’est en cela que les 3D se distinguent de la 5D, puisque la ”Spirale 5D” devient alors inaccessible par le parcours. Quant à la représentation de la 5D lorsque l’on tentera de la traverser en entier, c’est la ”trame 3D” qui empêche de pouvoir la parcourir en entier au travers du temps qu’il faut pour accomplir cette tâche.

Pourtant, cela n’empêchera pas la 5D d’exister dans sa globalité sous sa forme de ”Spirale 5D”. Ainsi, le fait que la ”Spirale 5D” n’est pas possible à parcourir dans son intégralité signifie que dans la ”trame 3D”, nous restons indéfiniment dans des distances finies en 3D, malgré que cette trame s’étende à l’infini. La mesure depuis n’importe quel endroit de l’univers ne parvient jamais à s’extraire des 3D. La ”trame 3D” et la ”Spirale 3D” représentent cette impossibilité. La spirale est toujours conçue pour être imaginée déroulée indéfiniment depuis n’importe quel endroit, à l’instar d’un ruban à mesure télescopique, ce qui montre bien la distinction entre les 3D indéfiniment finies et la 5D qui n’a pas besoin d’être parcourue pour exister sous sa forme sans frontière ni bord.


Une nuance subtile de terminologie


La ”trame 3D” est plus pratique pour une représentation interconnectée d’une ”trame 3D” entre tous les points tridimensionnels de l’univers, tandis que la ”Spirale 3D” est plus pratique pour une représentation globale de l’étendue des 3D à la 5D. Bien que les deux termes représentent la même identité, ils la représentent de façon différente, enrichissant la représentation des 3D superposant la 5D. La ”piscine d’EterniGo” permet également une excellente nuance accrue pour dissocier la part infinie 5D, de l’univers par rapport à l’éternellement fini des 3D. La piscine reprend la limite de stature de sa capacité (PFS) qui permet également de distinguer les 3D comme radicalement autres que la dimension 5D, dans le monde matériel, bien que lorsqu'ils sont considérés dans leur totalité, on rentre dans une représentation infinie de l’univers en 5D. La ”Spirale 3D” a beau être infinie, mais sa globalité n’est jamais accessible, d’où sa spécificité tridimensionnelle et non infinie.


Mais alors quelle différence entre la spirale 3D ou 5D ?


Même si les 3D rejoignent la 5D, une différence essentielle persiste entre ces deux dimensions : l’infini et le fini. Si l'on tente de dérouler une ”Spirale 5D”, sa particularité sera identique à celle d'une ”Spirale 3D” dans le sens où la partie déroulée ne pourra jamais dépasser le fini des 3D. Ainsi, la ”Spirale 5D” devient également une ”Spirale 3D” dès lors qu’on cherche à la parcourir en la déroulant, perdant sa distinction initiale. Inversement, la ”Spirale 3D” ne se dissocie plus de la 5D lorsqu'on ne cherche plus à la parcourir, puisque elle a la même dimension que l’infini.

Pourtant, c’est lorsqu’on cherche à parcourir cette spirale que le fini des 3D apparaît. En ce sens, les deux spirales permettent de démontrer que bien que les 3D et 5D soient indissociables, elles doivent cependant être considérées comme des dimensions distinctes, l’une finie tandis que l’autre infinie.


Dans la ”Spirale 5D”, tous les points constitutifs de la spirale se trouvent exactement au même ”nul part” par rapport au centre de la spirale.


Quant à la ”Spirale 3D”, elle est toujours conçue pour être imaginée déroulée progressivement dans le temps à la façon d’un ruban de mesure, soulignant ainsi que la partie déroulée est finie et reste donc dans le domaine du fini. Bien que cette capacité s’exerce également sur la ”Spirale 5D”, le terme ”Spirale 3D” met en évidence la propriété tridimensionnelle de la partie déroulée, tandis que la ”Spir ale 5D” exergue la partie non déroulée qui est toujours de même dimension : infinie. Ainsi, parler de ”Spirale 3D” ou de ”Spirale 5D” ne réfère pas à la même chose.


Quelle différence avec ”la 5D asymétrique” ?


Ainsi, la ”trame 3D” ne peut se manifester sous sa forme tridimensionnelle qu’à travers la matière et le vide. Avant sa formation, si l’univers était vide, sans point de repère, les 3D ne pourraient pas apparaître. Cependant, il suffit d’un seul objet tridimensionnel fait de matière pour que la possibilité de mesurer l’univers en 3D devienne une évidence, car il serait indéfiniment impossible de s’éloigner de cet unique objet à une distance infinie. C’est donc précisément depuis cette ”trame 3D” que les endroits de l’univers semblent uniques, chaque point présentant des répartitions matérielles inégales. Cette caractéristique est mise en avant à travers le terme de ”la 5D asymétrique”.


Cependant, ce paradigme change si l’on considère que tous les points de l’univers se trouvent strictement à une distance égale des “non bord” de l’infini. En conséquence, par rapport à cette 5D, l’univers devrait être homogène en termes de répartition de matière et de vide à une échelle infinie. Cette homogénéité ne pourrait pas être observée dans notre environnement limité aux 3D, mais elle serait parfaitement perceptible par le CMB, qui détecte la répartition de la matière à l’échelle de l’infini.


Ainsi, ”la 5D asymétrique” représente les irrégularités observables uniquement depuis les 3D, mais ces irrégularités s’effacent complètement lorsque l’on les considère depuis l’infini.