Lexique des théories d’Olivier Dusong

Ce lexique aide à comprendre les termes de mes théories présentes dans mon livre et mes recherches.


©️Olivier Dusong 1998 - 2024


“A”, “B”, “C” : Ces lettres représentent des étapes à travers la conjoncture du temps, avec leur chronologie respective, utilisées pour décrire des processus temporels dans un cadre passé ou futur. “A” est souvent le point de départ ou l’origine d’un événement mais peut aussi être positionné dans un avenir, faisant référence à des points antérieurs comme le Big Bang ou le “passé 6D”. “B” et “C” symbolisent les étapes suivantes, illustrant l’évolution de l’état endroitique de l’univers entre ces points. Ces termes concernent à la fois le temps et l’espace, aidant à structurer et à visualiser la progression des événements. Bien que “A” et “B” puissent parfois être remplacés en mathématiques par “P.A”, où “P” désigne le point de départ et “A” le point d’arrivée, cette notation peut être moins intuitive que l’usage séquentiel des lettres de l’alphabet, raison pour laquelle la forme alphabétique est depuis peu privilégiée pour une meilleure compréhension.


"A" et "P" ou P.A : En mathématiques, "P" désigne souvent le point de départ d'un parcours et "A" la position d'arrivée, d'où l'abréviation P.A. Dans mes travaux plus récents, j'ai adapté ces termes pour une meilleure clarté : "A" peut aussi marquer le début d'un événement, avec "B" et "C" illustrant les étapes suivantes. Cette adaptation aide à clarifier le processus chronologique de façon intuitive, distinguant les contextes où "A" est le point de départ de ceux où il représente l'arrivée. Cette polyvalence illustre comment les mêmes lettres peuvent servir dans des cadres théoriques variés pour éviter toute confusion. On comprendra ainsi que lorsque "A" est suivie de la lettre "P", ou inversement de "B" et "C", le sens attribué change. Cette distinction permet d'éviter toute confusion et illustre la flexibilité des symboles à travers différents cadres théoriques et pratiques.


Arrivée de l’ÉterniGo : Dans le cadre fictif de l’expérience de pensée du “voyage de l’ÉterniGo”, ce terme désigne l’instant précis où l’ÉterniGo atteint son point de destination, le salon, dans le présent, malgré un voyage qui n’a jamais débuté dans l’éternité. Cette arrivée engendre le même paradoxe que la question de savoir comment le présent peut advenir s'il est issu d’un passé éternel sans commencement appelé éternité ou 6D. Il aurait fallu traverser cette 6D avant d’arriver au présent, mais puisqu'une éternité est par définition infranchissable, comment le présent advient-il ? Même si le voyage de l’ÉterniGo est en soi une fiction, il sert de représentation puissante pour visualiser ce paradoxe d’un présent qui advient malgré un passé éternel sans commencement dans la 6D. Cela rappelle que tout événement, qu’il soit passé ou présent, dépend en réalité d’un passé sans commencement, dans l’éternité de la 6D, soulevant ainsi la question sur la manière dont le présent peut se produire s’il dépend d’un passé qui, lui-même, n’a jamais commencé.


Bilocation : Ce concept renvoie à la prétendue capacité d'une personne ou d'un objet d'exister en deux endroits différents simultanément, souvent liée à des phénomènes mystiques ou paranormaux. J’utilise ce terme pour avancer l'hypothèse suivante : si, dans l'éternité (6D), les événements passés, présents et futurs dépendent d'un même "Jamais Commencement", alors le point de départ et d'arrivée d'un mobile pourrait exister simultanément sur toute la durée du parcours. Je me demande également si la téléportation pourrait devenir possible si nous parvenions à comprendre comment exploiter ces réalités parallèles invisibles et les rendre conscientes. Cela serait réalisable, car, dans la réalité parallèle de l'éternité (6D), un mobile serait présent sur toute la longueur de son trajet, dans une dimension où le temps n'a plus cours. Il serait alors envisageable d'atteindre n'importe quel point de ce parcours sans traverser le "temps".


Capsule sensorielle : Elle représente notre corps comme un instrument unique qui nous permet d'explorer la réalité. Cette capsule sensorielle englobe toutes nos perceptions du monde qui nous entoure, de la sensation au toucher à la vue, en passant par notre perception du temps limitée par le PFT. Elle définit notre corps comme un instrument de sonde permettant de percevoir le monde. Cependant, nos perceptions sont elles aussi restreintes aux limites de nos sens, et il est fort probable que notre vision de la réalité soit grandement altérée et ne corresponde que partiellement à la véritable réalité.


CMB : (Rayonnement Cosmologique Micro-onde), découvert en 1965, est un fond diffus de rayonnement électromagnétique qui remplit l'univers observable. Son rôle crucial a été de confirmer l'homogénéité presque parfaite de la répartition de la matière à grande échelle dans l'univers. Je propose une théorie basée sur la 5D pour expliquer cette homogénéité apparente. Selon cette hypothèse, chaque point de l'univers 3D est positionné de manière identique par rapport aux "non bords" de la 5D, ce qui pourrait expliquer l'apparente uniformité du CMB, même si des irrégularités sont observées dans les 3D, ne semblant pas être homogènes et s'opposant au CMB. Cette théorie suggère l'existence de deux réalités parallèles : une irrégulière observable dans les 3D et une homogène parfaite dans la 5D. Le CMB serait ainsi la manifestation de la 5D, expliquant les contradictions apparentes.


"Conjoncture Endroitique" : Ou plus simplement "conjoncture" est un état spécifique dans l'endroitie à un moment précis du ”temps endroitique”. Elle peut être considérée comme l'équivalent d'une position précise des aiguilles sur une horloge, représentant une empreinte unique de l'univers à cet instant.


5D : représente l’univers infini sans bord comme une dimension distinctive des 3D spatiales conventionnelles. Le vide intersidéral, étant constitué de rien et n’ayant besoin d’aucune cause primaire pour exister, aurait dû exister depuis l’éternité avant la création de la matière par le Big Bang. Si le vide existait avant la matière, il ne peut être contenu à l’intérieur d’une enveloppe matérielle ; par conséquent, l’univers doit être de dimension infinie, s’étendant dans toutes les directions sans bord. Si l'univers est infini, où est-il situé par rapport au "non-bord" de cette dimension ultime de la 5D ? La réponse est que dans une dimension sans bord, toute localisation devient impossible, contrairement aux 3D où toute chose peut être localisée. Ainsi, qu'un mobile parcourt un millimètre ou un milliard d'années-lumière, dans la 5D, sa position par rapport au "non-bord" de cette dimension particulière de l’univers ne pourrait jamais changer car elle serait toujours à une distance équivalente de l'infini par rapport à ses "non-bord". Ainsi, la position de départ d'un mobile et son arrivée devraient être situées au même "nulle part" par rapport au "non-bord" de la 5D, ce qui pourrait être une esquisse d’explication aux paradoxes du mouvement dont parle mes théories. C'est parce que l'infini 5D n'a pas de frontière et qu’elle ne peut être mesurée en 3D qu’elle doit nécessairement être une dimension distincte des 3D avec des règles de déplacement rendu impossible tout comme dans les paradoxes du mouvement dont je parle. Si la position de départ d'un mobile et son arrivée est impossible dans la 5D et qu’elle l’est dans les 3D, c’est que les règles du déplacement n’appartiennent qu’aux 3D mais deviennent caduques dans la 5D. On peut se représenter la 5D sous la forme d'une "Spirale 5D" tracée sur une pièce de monnaie où n’importe quelle surface, avec son extrémité à une distance infinie du centre. Si nous devions dérouler cette spirale, nous pourrions traverser l'univers entier sans jamais pouvoir la dérouler complètement, car son extrémité serait toujours à une distance infinie de son centre qui s'enroule indéfiniment sans fin, et même avec une éternité devant nous, il serait impossible de la dérouler. Puisque la "Spirale 5D" est infinie, elle ne peut être mesurée en 3D et doit fatalement être un objet qui, par conséquent, ne peut appartenir aux 3D. C’est un objet en 5D. Cette objet conceptuel est très pratique pour se représenter la 5D d’une manière simple, car chaque point de la spirale serait toujours à une distance infinie du centre, de la même manière que chaque point de l'univers situé dans l'univers 3D serait toujours "nulle part" par rapport au "non-bord" de la 5D. Cela montre pourquoi la 5D se dissocie d’un espace mesurable en 3D où la localisation est au contraire possible, ce qui distingue la 5D comme une dimension supérieure et supplémentaire aux 3D.


5D asymétrique ou irrégulière : Si l’univers est sans bord en 5D, chaque point doit se trouver exactement à une distance équivalente des “non bord”, ce qui empêche toute localisation de ces points qui devraient tous être au même endroit par rapport à la 5D. Cela suggère qu'en l'absence de bord, il ne peut y avoir de centre dans la 5D de l’infini. Par conséquent, la matière devrait être répartie homogènement dans la 5D de l'univers, ce qui semble confirmé scientifiquement par le CMB, bien que cette homogénéité ne semble pas observable à une échelle plus petite. La 5D asymétrique ne contredit pas cette présomption, mais souligne plutôt que même si l'univers est probablement homogène dans sa répartition de la matière à échelle infinie, il reste impossible de dérouler une "Spirale 5D" depuis la Terre pour atteindre la 5D, car chaque partie de la spirale déroulée resterait toujours mesurable en 3D, rendant impossible de s'extirper des 3D. Ainsi, bien que chaque point de l'univers soit non localisable et dissociable par rapport aux "non bord" de la 5D, il reste toujours localisable par rapport aux 3D. Cela suggère que chaque point de l'univers est localisable par une "trame 3D" qui s'étend à l'infini. La 5D irrégulière illustre que depuis la perspective de la "trame 3D", la répartition de la matière semble toujours irrégulière, tandis que depuis la perspective de la 5D, tous les points de l’univers, qu'ils soient faits de matière ou de vide, se trouvent exactement au même endroit par rapport aux "non bord". Cette distinction entre la symétrie dans la perspective de la 5D et l'asymétrie depuis la perspective des 3D pourrait expliquer les apparentes contradictions entre la symétrie du CMB et l’asymétrie apparente de l’univers tel que présente dans nos télescopes optiques. De plus, la 5D asymétrique donne lieu à la notion de "temps endroitique" car si les endroits de l’univers sont uniques par rapport à la "trame 3D" et à la "Spirale 3D", alors il est possible qu’un mouvement entre ”A” et ”B” soit réel et non holographique, malgré les paradoxes du ”jamais commencement” relatifs à l’éternité (6D). Néanmoins si tel est le cas alors toutes les explications pour résoudre les paradoxes liés au ”non début” de la 6D resteraient à être réexpliquées car alors totalement irrésolus. La 5D asymétrique suggère que chaque emplacement dans l'univers peut être intrinsèquement unique, remettant en question l'idée traditionnelle de la 5D où tous les points se superposeraient dans un même "nul part" infini, où tout déplacement serait impossible.


6D : Le vide, n'ayant besoin de rien pour exister, aurait existé de tout temps, donc l'éternité existe. Cette éternité peut être envisagée comme une spirale dont le centre n’a pas de départ. Chaque événement passé, présent, futur, sur cette spirale sont en réalité tous au même endroit par rapport au "Jamais Commencement," situé au centre de la spirale. Cette perspective suggère que dans l'éternité, le temps ne s'écoule plus, faisant ainsi partie d’une dimension hors du temps où le temps n’existe plus, constituant ainsi une dimension intemporelle distincte du temps, la 6D. Dans cette perspective, tous les moments de l'existence coexisteraient simultanément, offrant une vision profondément différente du temps et de l'existence.


Échelle PE-MR : Cette échelle se construit en identifiant la moitié d'un parcours, puis la moitié de la moitié restante, et ainsi de suite, de manière indéfinie. Cette approche donne lieu à un schéma fractal qui représente le "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PE-MR) au sein d'un espace fini. C'est une visualisation de la confrontation entre l'apparente impossibilité d'achever un trajet dû à l'infini des moitiés restantes et le fait qu'en pratique, la destination est atteinte, du moins en apparence.


Échelle TMPT : Cette échelle se réfère au nombre de Tranches Minimum de Perception Temporelle (TMPT) contenues dans un événement ou un mouvement. Elle sert à quantifier la durée subjective perceptible d'un phénomène à travers le nombre de TMPT. Par exemple, si un parcours est constitué de 5 TMPT, il sera perçu comme une succession de 5 tranches de temps, similaires aux images d'un film. C'est la somme de ces tranches qui sera perçue, et cette perception peut varier en fonction de l'organisme qui perçoit l'événement - par exemple, un chat pourrait percevoir plus de TMPT pour un même événement qu'un être humain, donnant l'impression que l'événement se déroule plus lentement.


Endroitie : Terme inventé pour décrire l'état d'un endroit qui englobe la totalité de l'univers. L'endroitie représente la position de tous les objets de l'univers, et elle change constamment en raison du mouvement perpétuel de toutes les choses dans l'univers. L'état de l'endroitie évolue en fonction de l'instant où elle est observée, de sorte qu'elle n'est pas dans le même état d'une nanoseconde à l'autre. Cette notion transcende les notions traditionnelles d'endroit ou de localisation, car elle englobe l'ensemble de l'univers.


Endroitique : Relatif à l’endroitie


Endroitiquement : De façon endroitique


EterniGo : un vaisseau spatial futuriste qui permet un éventail d'expériences de pensée imaginaires. Il peut se réduire indéfiniment jusqu'au niveau subatomique ou, à l'inverse, s'agrandir de manière infinie, atteignant même la taille d'une galaxie tout en ajustant proportionnellement la taille de ses occupants. Cet outil conceptuel incite à réfléchir sur la nature de l'infini et de l'éternité au-delà des limites de notre perception. (Chapitre 2)


“L’expérience de la stature” : utilise, la fiction de l’EterniGo, pour modifier notre taille corporelle pour explorer la perception de l’environnement. En se rétrécissant à la taille d’un atome, un grain de sable peut sembler aussi grand qu’une planète. Inversement, en grandissant à une échelle galactique, le système solaire devient indiscernable. Cette expérience illustre comment la perception des dimensions et distances change avec notre stature.


“Expérience mural” : est une expérience impliquant l'EterniGo, qui imagine un voyage infini en ligne droite vers un mur. Dans ce scénario, la vitesse diminue de manière infinie proportionnellement au PE-MR. Cela signifie qu'une seconde est allouée au parcours de chaque nouvelle moitié restante, permettant de maintenir le mobile en mouvement sans jamais atteindre la limite de notre PFT, en réduisant indéfiniment la vitesse de déplacement. Parallèlement, la stature PFS de l’EterniGo se réduit proportionnellement aux moitiés restantes, ce qui nous permet de continuer à percevoir le déplacement au sein d’un voyage qui se poursuit indéfiniment dans le subatomique. L'objectif de cette expérience est de nous aider à mieux visualiser la réalité du PE-MR au-delà de l'illusion du PFT. La réduction de la stature PFS nous fait prendre conscience qu’en dehors de la stature de notre corps, il n’y a plus de distinction entre l’infiniment grand ou petit, tout est une question de stature. En dehors de cette perception, notre voyage continue sans fin dans le subatomique sans jamais rencontrer le mur dans la 6D. (Chapitre 2.16)


"Expérience 5D" : Est une expérience de pensée où une machine spéciale commence à tracer un parcours en forme de spirale parfaite sur une pièce de monnaie à l'aide d'une pointe de traçage si fine qu'elle ne possède aucune épaisseur au contact de la surface de la monnaie. Cela permet une trajectoire parfaite sans risque de toucher deux fois les spires déjà parcourues, tandis que la pointe se déplace sans fin sur la pièce à une vitesse fulgurante de 60 km/h. À bord de l'EterniGo, nous prenons le bout de la spirale et partons vers la Lune, la déroulant à moitié de la vitesse de formation, soit 30 km/h, jusqu'à notre décès. Cela nous fait presque parcourir une distance d'un aller-retour Terre - Lune. Après notre décès, l'EterniGo poursuit son voyage, déroulant la spirale indéfiniment. De manière symétrique, la spirale se déploie dans la même proportion qu'elle continue de se parcourir sans fin sur la pièce, se rapprochant perpétuellement de son centre, sans jamais l'atteindre. Ainsi, elle forme une spirale de parcours éternel dans le futur. Cette expérience illustre qu'un parcours infiniment long peut être visualisé sur une pièce de monnaie ou n'importe quelle surface. Elle montre comment un parcours infiniment long (5D) est possible même dans le subatomique. 


"Expérience Subatomiques" : Dans cette expérience de pensée à bord de l'EterniGo, nous entreprenons un voyage en spirale à travers l'infiniment petit, tout en restant dans un salon vidé de ses meubles. Pour éviter de toucher les spires de la spirale, la dimension de l'EterniGo se réduit continuellement. Après notre mort, l'EterniGo continue indéfiniment sa spirale, repoussant les limites de l'exploration du subatomique tout en allongeant perpétuellement la longueur du parcours, s'étendant potentiellement en 5D dans le futur éternel.


"Fenêtre d'incarnation" : également appelée "incarnation" ou “fenêtre de vie“ 


“Fenêtre de vie“ : elle se réfère au contexte du "Jamais Commencement" de l'éternité en 6D. Cette hypothèse explicative de la perception du "temps" en évolution suggère que chaque conjoncture endroitique (la position de chaque chose dans l'univers) apparaît en 3D spécifiquement à l'époque d'incarnation d'un individu, montrant des événements différents en fonction de ces conjectures. Elle constituerait une fenêtre limitée et finie à travers laquelle un individu percevrait l'époque en fonction de l'endroit précis où il se serait incarné sur la spirale 6D. Cette durée finie dans le temps constituerait une segmentation de la spirale 6D, faisant apparaître la durée de la vie sous une forme holographique temporelle en 4D. Cette illusion de durée serait possible du fait qu'elle serait elle-même segmentée par des TMPT (tranches minimum de perception temporelle) de nombre fini. Une fois les TMPT épuisées, cela donne l'illusion que les événements ont un début et une fin, et que le temps s'écoule. En dehors de cette illusion, la position de chaque chose dans l’endroitie cesse d'être mesurable au sein de la 6D, et il n'est plus assuré que l’univers en 4D, existent, ni que la matière puisse continuer d’exister, dans le "jamais commencement" d’un "passé 6D". Ainsi, l'endroitie observable pour un individu à l'époque de l'Égypte ancienne serait radicalement différente de celle de la nôtre, en raison du changement conjoncturel de leur position respective sur la "Spirale d’EterniGo". Cependant, ce que les individus incarnés de ces deux époques ne verraient pas, c'est que leur naissance se trouve exactement au même endroit l'un de l'autre par rapport à l'état du "non-début" au centre de la spirale 6D, et que dans la 6D, leurs existences se superposent malgré qu'ils croient vivre dans des époques différentes. Cette hypothèse est celle d’un univers holographique, mais la théorie du "temps endroitique" propose au contraire que le "temps" pourrait être factuel ainsi que l’endroitie. La question de savoir si l’endroitie reste factuelle même au sein du "jamais commencement" du "passé 6D" au travers d’un "temps endroitique" est également envisageable. Dans cette autre paradigme, les époques entre notre "fenêtre de vie" et celle des pharaons surviendraient au contraire à des époques distinctes malgré le "jamais commencement" du "passé 6D".


Futur 6D : est une notion qui fait référence à ce que nous percevons comme le "futur", mais dans le cadre conceptuel de la spirale 6D. En utilisant le terme "futur", nous le situons dans la spirale 6D après le moment que nous considérons comme "présent". Cependant, il est important de noter que, dans la perspective de la 6D, le futur lui-même pourrait être une illusion, tout comme le passé et le présent.


Hypothèse divine : Idée suggérant que, dans l'éternité, tous les événements, passés et futurs, coexistent en un point intemporel, conduisant à la notion d'une mémoire ou conscience infinie de l'univers. Cette théorie soulève la question de savoir si la 6D pourrait être consciente d'elle-même et si elle pourrait agir intentionnellement, tel un créateur.


Hologramme : Il est possible que nous soyons largement trompés, comme cela peut se produire dans le PE/MR, la 6D, les PFT, PFS, etc. Rien ne nous permet d'affirmer avec certitude si le monde que nous percevons est tel qu'il est réellement, ou s'il s'agit d'un mélange entre des perceptions véritables et les distorsions résultant de l'analyse mentale. Selon moi, nos perceptions sensorielles et la manière dont notre esprit les interprète peuvent s'éloigner considérablement de la réalité. Il faut considérer nos sentiments avec prudence. La science contemporaine, basée sur l'observation d'évidences empiriques, oublie parfois que notre perception du monde est incomplète. Nos observations et ce que nous tenons pour des preuves peuvent être des illusions résultant de notre façon altérée de percevoir la réalité. Si l'expérimentation nous présente des phénomènes illogiques, nous devons réfléchir à la possibilité que notre esprit, qu'il s'agisse de nos perceptions sensorielles ou de raisonnements erronés, puisse nous tromper, nous plongeant ainsi dans un véritable hologramme.


"Horizon Temporel" ou PFT ("point de fuite temporel") - Note : Le terme PFT couvre d'autres termes techniques complémentaires, tandis que "l’Horizon Temporelle" rend ces mêmes termes plus imagés. Pour mieux les appréhender, voir la définition détaillée du PFT ci-dessous. Les deux termes sont cependant interchangeables.

Si on se trouve sur un navire en mouvement, l’horizon devant appartient à l’horizon futur, faisant constamment apparaître un nouvel horizon de “tranche minimum de perception temporelle : TMPT”. Tandis que celui derrière son sillage disparaît dans le passé, rendant ce qui fut visible autrefois, faisant partie de l'histoire. “L’horizon Temporelle” fonctionne de manière similaire, concernant le moment où une action devient suffisante pour atteindre la TMPT. Lorsqu'un mobile passe d’un point ”A” à ”B”, pour que l’ensemble de cette action soit visible, il faut qu'il atteigne une première TMPT depuis ”A”, puis que ce parcours utilise un certain nombre de TMPT. En effet, une seule TMPT ne suffit pas à produire l’impression du mouvement, mais juste à faire apparaître le mobile. Comme au cinéma, c’est la succession d’images statiques qui donne l’illusion du mouvement. Avec une seule TMPT, le mouvement n’apparaît pas. Ainsi, si le nombre de TMPT entre ”A” et ”B” est de 1000, une fois que la dernière TMPT est atteinte vers ”B” à la fin du parcours entamé, il restera encore un “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) à traverser, avec des moitiés restantes trop petites pour dépasser la TMPT. Par conséquent, ces moitiés restantes seront parcourues derrière le PFT (“l’Horizon Temporel”). Cependant, cette atteinte du PFT ne concerne pas uniquement le début et la fin du parcours, mais l'ensemble de celui-ci. À chaque nouvelle TMPT entamée se trouve un nouveau PE/MR à traverser, une éternité qui, dans la 6D de l’ultracourt, pourrait potentiellement ne pas avoir de fin. Cependant, cette éternité nous est cachée par “L’horizon Temporel”. À chaque nanoseconde, une éternité est traversée sans que nous en ayons conscience, car une partie éternelle du mouvement dans l’ultracourt du PE/MR nous est cachée par le PFT. C’est ce mécanisme qui fait apparaître à chaque instant de nouvelles TMPT qui sortent de derrière l’horizon du PFT en direction de ”B”, et inversement, qui fait disparaître les TMPT passées en direction de ”A”, les reléguant dans le passé de nos perceptions temporelles. Ainsi, le PFT est à la fois le point où les TMPT émergent de “L’horizon Temporel” et celui où elles disparaissent dans le passé apparent, dans ce qui pourrait n’être qu’une illusion dans l’“univers bloc”. l’Horizon Temporel (PFT) est une frontière dans notre perception du temps, définissant le point au-delà duquel les instants infiniment petits et éternels d’un événement ou mouvement cessent d’être discernables. Comme l’horizon traditionnel cache une infinité de détails lointains, l’Horizon Temporel (PFT) masque l’infini des moments contenus dans un mouvement ou événement. Il transforme notre perception de l’éternité en une perception du “temps” où chaque instant est perçu comme succédant au précédent et précédant le suivant. Grâce à l’Horizon Temporel (PFT), nous percevons l’écoulement du temps comme une succession d’événements et comme des durées fini, et non comme une éternité immuable. 


Incarnation : ou "fenêtre d'incarnation" ou encore “fenêtre de vie“, se réfère au contexte du "Jamais Commencement" de l'éternité en 6D. C'est une hypothèse explicative de la perception d'un "temps" en évolution. Selon cette proposition, chaque conjoncture endroitique apparaîtrait spécifiquement à l'époque d'incarnation d'un individu. Elle constituerait une fenêtre limitée appelé “fenêtre de vie“ à travers laquelle un individu percevrait l'époque en fonction de l'endroit précis où il se serait incarné sur la spirale 6D. La métaphore du voyage à bord de l'EterniGo est utile pour cerné cette idée, montrant comment l'endroitie observable pour un individu à l'époque de l'Égypte ancienne serait radicalement différente de celle de l'année 2000, en raison du changement conjoncturel de leur position respective sur la spirale 6D. Cependant, ce que l'individu incarné ne verrait pas, c'est que sa naissance se trouve exactement au même endroit que celle de quelqu'un né en l'an 2000 par rapport à l'état du "non-début" au centre de la spirale 6D, et que dans la 6D, ces événements se superposent possiblement.


"Jamais Commencement" : Concept décrivant un état ou un phénomène n'ayant pas de début, défiant notre perception linéaire du temps. Il est directement associé à la notion d'éternité et est présent tant dans la problématique du PE-MR que dans la spirale 6D.


Les 6D : Lorsque "les" est ajouté devant 6D, il s'agit des 6 dimensions, et non plus de la 6D.


Les 5D : Lorsque "les" est ajouté devant 5D, il s'agit des 5 dimensions spatiales, et non plus de la 5D.


”Matière endroitique”: désigne l'idée selon laquelle, dans le scénario d'un "univers bloc" confirmé, chaque point occupé par de la matière serait bilocalisé avec le "passé 6D", où la matière n'existait pas encore. Les guillemets sont utilisés ici car, dans le contexte d'un "univers bloc" confirmé, le temps tel que nous le concevons n'existerait pas. Ainsi, il serait concevable que le moment où un objet entre en contact avec un mur coïncide également avec un moment passé où le mur n'existait pas encore. Dans cette perspective, il serait hypothétiquement possible de traverser le mur en comprenant que sa position coïncide avec une situation où il n'existe pas encore, en alignant consciemment ces deux instants grâce au "non début" de la 6D, et en déplaçant notre conscience sur ce "non début" pour passer à travers n'importe quel obstacle matériel.


Moitiés restantes : sont les la moitiés  qui reste à parcourir dans le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) 


"Non bord" : Ce terme est directement lié au non bord de l'infini et est associé à la dimension de l'infini. En raison de l'impossibilité de se déplacer dans une dimension sans bord, l'infini n'appartient pas aux trois dimensions traditionnelles et représente une dimension à part entière (la 5ème) elle englobe l'univers entier. Que l'on parle de "non bord" ou d'infini, on fait référence à la même chose. Le terme "non bord" souligne simplement de manière plus précise la singularité de l'infini qui ne peut pas appartenir aux dimensions 3D.


"P" (Position Initiale) : La lettre "P" est utilisée en mathématiques pour représenter le point de départ d'un objet ou d'un mobile.


P.A : En mathématiques, "P" désigne souvent le point de départ d'un parcours et "A" la position d'arrivée, d'où l'abréviation P.A. Dans mes travaux plus récents, j'ai adapté ces termes pour une meilleure clarté : "A" peut aussi marquer le début d'un événement, avec "B" et "C" illustrant les étapes suivantes. Cette adaptation aide à clarifier le processus chronologique de façon intuitive, distinguant les contextes où "A" est le point de départ de ceux où il représente l'arrivée. Cette polyvalence illustre comment les mêmes lettres peuvent servir dans des cadres théoriques variés pour éviter toute confusion. On comprendra ainsi que lorsque "A" est suivie de la lettre "P", ou inversement de "B" et "C", le sens attribué change. Cette distinction permet d'éviter toute confusion et illustre la flexibilité des symboles à travers différents cadres théoriques et pratiques.


Paralogisme : une erreur de raisonnement qui, bien qu'elle semble juste au départ, mène à une conclusion invalide. Selon moi, les résolutions des paradoxes de Zénon par le calcul infinitésimal commettent l'erreur de croire contredire Zénon par la finitude. Dans la section consacrée à Zénon sous le nom « Paradoxe de Zénon : un faux problème », j'explique pourquoi c'est un paralogisme.


Passé 6D : est une notion qui fait référence à ce que nous percevons comme le "passé", mais dans le cadre conceptuel de la spirale 6D. En utilisant le terme "passé", nous le situons dans la spirale 6D avant le moment que nous considérons comme "présent". Cependant, il est important de noter que, dans la perspective de la 6D, le passé lui-même pourrait être une illusion, tout comme le présent et le futur.


PE/MR "Parcours Éternel des Moitiés Restantes": j’ai formulé ce postulat en 1998. Il énonce que pour qu'un mobile accomplisse un trajet donné, il doit nécessairement passer par le point médian géographique de ce trajet avant d'atteindre sa destination finale. En suivant cette logique, à chaque point médian atteint, il doit également passer par le point médian de la moitié restante, et ainsi de suite. Cette séquence de "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PE/MR) suggère un parcours sans fin, alors qu'il est pourtant fini et ne le dépasse pas. Alors pourquoi le mobile semble malgré tout arriver ? Est-ce une illusion ? Ou est-ce le principe des moitiés restantes qui est faillible ? Plus tard, j’ai découvert, que ma découverte fait écho à un questionnement ancien, déjà formulé par le philosophe Zénon sous le nom de dichotomie. Cependant, contrairement à Zénon, qui concevait le mouvement comme une série de divisions, le PE/MR insiste sur un fait essentiel : il n’y a aucune division, chaque parcours, court ou long, possède obligatoirement un milieu physique, ce milieu existe indépendamment de toute volonté de vouloir diviser et ne peut en aucun cas être associé à une "division". Ainsi, le terme "dichotomie" qui signifie « divisions » a semé la confusion, laissant supposer que le PE/MR consistait à diviser un mouvement mentalement. En réalité, le centre d’un parcours, ne peut être associé à une quelconque division. Il est infiniment plus qu’un problème faisant appel à une volonté de séquencer, un parcours, au contraire, il est une réalité purement physique. Cette transition est aussi cruciale qu'un parcours ne peut exister sans un point central aussi physique et réel que le sont les points de départ et l’arrivée, sans lesquels un mouvement, quel qu'il soit, infime ou non, ne peut plus exister. Le chapitre 1.5 démontrera pourquoi la résolution mathématique proposée aujourd'hui est une fausse solution, un paralogisme basé sur un faux problème de divisions, faisant croire qu'une simple addition des moitiés restantes suffit à résoudre ce problème. J’expliquerais en détail pourquoi cette solution apparente n'en est pas une. Les autres sous-titres du chapitre 2 expliqueront quelques-unes des propositions pour essayer de donner des pistes pour résoudre cette énigme.


PF : (Point de Fuite) : est le point où, en perspective, tous les objets qui s’éloignent trop finissent par se réduire à un simple point avant de disparaître à l’horizon. Dans mes théories, ce concept est adapté au PFT et PFS.


PFS (Point de Fuite Spatial) : Inspiré du concept de point de fuite en perspective, où les objets semblent plus petits à mesure qu'ils s'éloignent, le PFS représente comment l'environnement change de taille non pas en raison d'un éloignement, mais à cause du rapport de la taille d'un individu ou d'un objet par rapport à celui depuis lequel on juge la grandeur des choses. L'expérience de pensée de la stature, qui consiste à changer de taille corporelle en se réduisant à l'infini avec l'EterniGo, illustre très bien ce principe. Si, grâce à la fiction de l'EterniGo, nous nous agrandissions à la taille de notre galaxie, notre système solaire deviendrait si petit qu'on ne pourrait plus le distinguer. À l'inverse, si nous nous réduisions à la taille d'un atome, un grain de sable nous semblerait immense comme une planète. Ces changements feraient paraître la taille de notre environnement soit s'agrandir indéfiniment, soit se réduire en fonction de notre stature. Ainsi, un microbe, ayant une stature très différente de celle d'une baleine, aurait un PFS correspondant à la taille d'un microbe, tandis que le PFS d'une baleine correspondrait à sa propre taille. Cette différence de taille corporelle influence la perception de la grandeur des choses dans le cosmos. C’est cela le PFS, qui peut également être appelé « la stature ». Le PFS du microbe, déterminant le microscopique du visible, ne sera pas placé au même point que celui de la baleine.


PFT “point de fuite temporel”

ou “Horizon Temporelle” : En perspective, le point de fuite (PF) est le point où un objet, comme un bateau, se réduit à un simple point avant de disparaître ou d’apparaître à l’œil en raison de son éloignement ou de son rapprochement vers l’horizon. Le PFT est à la temporalité ce que le Point de Fuite est à la perspective visuelle, marquant le point où les événements semblent disparaître ou devenir instantanés en raison de notre capacité limitée de perception tels l’allumage d’une lampe. Ces moments, bien que réels, sont trop brefs pour être saisis par notre conscience, se situant au-delà de l’horizon perceptible du “temps”.  La “tranche minimum de perception temporelle : TMPT” indique où la perception du temps commence, tandis que le PFT est la frontière où elle s’arrête.

Il agit comme une frontière dans nos perceptions temporelles. C’est là que les tranches de perception temporelle (TMPT) émergent, rendant les actions visibles à notre conscience. En-dessous de ce seuil, les actions sont invisibles. Ainsi, pour être perçues en mouvement, les objets doivent dépasser ce seuil du PFT et parcourir une distance suffisante pour émerger à notre conscience en tant qu’événement “temporel”. Si une action est trop brève, elle reste derrière le PFT et n’est pas perçue. Le PFT offre une explication sur l’émergence de la conscience temporelle. Mais il soulève également des interrogations sur la manière dont l’horizon temporel est atteignable, par le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) ou depuis le “passé 6D”. Si le temps est une illusion due à nos limitations perceptuelles, le PFT pourrait en être l’origine. En revanche, s’il est réel, le PFT, bien qu’utile pour expliquer notre perception du temps, n’aurait pas d’impact sur son écoulement dans le “temps endroitique”.


Piscine de l'EterniGo : expérience de pensée qui imagine l’EterniGo se transformant en un fluide qui s’agrandit jusqu’à remplir une piscine, la faisant déborder. Puis se rétrécir indéfiniment mais ne parvenant jamais à rendre la piscine en 5D, puisque la distance entre l’EterniGo et les parois de la piscine serait indéfiniment mesurable en 3D au sein d’une ”trame 3D” s’étendant indéfiniment à la 5D selon la ”Spirale 3D”. Cette expérience de pensée m’a permis de comprendre que contrairement à un parcours 5D parcouru en une ”Spirale d’EterniGo” dans “l’expérience 5D”, bien que dans cette expérience fictive le parcours peut rejoindre la 5D dans le “futur 6D“, il ne faut pas confondre ce parcours théorique avec la stature PFS de l’espace entre les parois de la piscine et l’EterniGo rétrécissant, qui reste elle indéfiniment contenue et limitée à un espace 3D. La piscine de l’EterniGo met non seulement en évidence la différence entre les limites de la 3D et l’infini 5D sans bord, où l’EterniGo occupe toujours une place fixe par rapport au “non bord”, mais surtout permet de dissocier un parcours 5D d’une réduction PFS qui ne peut jamais s’extirper des 3D, contrairement à la ”Spirale d’EterniGo”. Si “l’expérience 5D” montre qu’un parcours pourrait théoriquement s’étendre à la 5D même dans le subatomique et que cela peut laisser entendre que dans la 5D l’infiniment grand peut théoriquement rejoindre l’infiniment petit et que l’infiniment petit peut contenir l’infiniment grand en un seul point transfini en 5D, il ne faut pas perdre de vue que “l’expérience 5D“ concerne un parcours est qu’il est immatériel contrairement à la stature (PFS) qui elle est matérielle et limitée qu’à la ”trame 3D”. Cette distinction entre parcours infini en ”Spirale d’EterniGo” dans le subatomique qui rejoint la 5D dans le “futur 6D“, et la stature entre piscine et l’EterniGo est cruciale pour comprendre que dans le domaine de la stature, l’infiniment petit ne devrait jamais dépasser la capacité de la piscine ni rejoindre l’infiniment grand et que l’infiniment petit ne peut qu’appartenir au 3D, comme le montre la réduction de stature de l’EterniGo à l’intérieur de la piscine. La piscine de l’EterniGo démontre ainsi que l’infiniment petit ne devrait s’appliquer qu’à la ”trame 3D” et ne peut pas appartenir à la 5D qui elle ne concerne uniquement que l’infiniment grand.


"Point Trait" : regardons les pales d'une hélice en mouvement. Elles donnent l'impression d'occuper simultanément tous les points de leur trajectoire, créant le  "point trait". Cette illusion démontre que les pales existent à la fois dans le passé et le présent. Elle révèle que notre perception du "présent" se superpose à une position passée de l’hélice. Pourtant les pales, se trouvent qu’en une seule position dans le moment présent, et cette position réelle se confond avec les positions passées de l’hélice. Cela signifie que notre conscience  de ce que l’on croit présent s’exerce en réalité sur une durée autrement dis le présent que l’on voit est une superposition d’instant passé et présente. Si notre perception s’arrêtait qu’au présent, nous ne pourrions pas voir l’hélice bouger. C’est ici la manifestation du PFT. Ce phénomène décrit une situation où un objet ou un événement est devenu perceptible dans l'espace en émergeant du Point de Fuite spatiale (PFS), mais n'a pas encore émergé du Point de Fuite Temporel (PFT) et n'est donc pas perçu comme ayant une progression dans le temps. Le "Point Trait" est donc perceptible dans notre réalité tridimensionnelle, bien qu'il puisse être considéré comme une illusion dans le contexte de l'éternité et de l'infini du PE-MR.


Postulats du vide : au nombre de trois, ces postulats renseignent sur la nature infinie et éternelle de l'univers. 

1. Si le vide est défini comme l'absence de matière, il n'a pas besoin d'une cause externe pour exister. Ainsi, le vide existe en soi, et il est peut-être le seul élément de l’univers à exister sans nécessiter une cause extérieure.

2. Étant constitué de rien, le vide intersidéral ne peut être contenu dans quoi que ce soit et s'étendrait infiniment dans toutes les directions. Par conséquent, la dimension de l'infini doit exister.3. Le vide, dénué de composants et ne nécessitant pas d'origine, aurait existé de tout temps, donc l'éternité existe.


Présent statique : c’est un problème qui se pose lorsque l'on observe une flèche en vol et que l'on considère un "instant présent." À cet instant précis, la flèche semble complètement immobile, sans aucune possibilité de déplacement, car elle ne peut être dans le passé ni dans le futur. Cette énigme remet en question notre compréhension du temps et du mouvement, car il semble impossible pour la flèche de passer d'un "instant présent" immobile à un autre, créant l'illusion du mouvement. Si chaque "instant présent" est statique, comment la flèche peut-elle changer de position dans cette immobilité ? Ce défi, attribué à Zénon, soulève des questions fondamentales sur la nature du temps, du présent et de l'illusion du mouvement. Il partage des similitudes marquantes avec les défis posés par la 6D et le PE/MR en ce qui concerne les obstacles au mouvement.


Rails du temps endroitique : Si, dans l'éternité (6D), tous les événements – passés, présents et futurs – découlent d'un unique "Jamais Commencement", alors le départ et l'arrivée d'un mobile pourraient coexister à travers l'intégralité de son trajet, le rendant biloqué. Son mouvement engendrerait alors une empreinte endroitique singulière. Suivant ce sentier endroitique, comparable à des rails indéviables, se pose la question de savoir si ces mêmes rails pourraient former un vortex permettant la téléportation au sein de la 6D.


Sensoriel : Désigne le domaine des perceptions, mais la réalité pourrait être bien différente de la manière dont nous la percevons. Nos sens limités ne nous garantissent pas une capture fidèle de la réalité. Bien que la science actuelle repose sur des observations empiriques, elle néglige parfois l'incomplétude de notre perception. Les anomalies ou phénomènes illogiques pourraient être le résultat d'une interprétation déformée par notre esprit, suggérant que nous vivons peut-être dans un hologramme.


”Spirale 3D” ou "trame 3D":

Si un vaisseau s’éloigne indéfiniment de la Terre en ligne droite, il serait impossible de rejoindre les “non bord” de la 5D, car il faudrait une durée infinie pour pouvoir le faire. Le terme ”trame 3D” rappelle qu’il est impossible de s’extraire des 3D pour atteindre la 5D pour cette même raison. S’il en est ainsi, il est probable que cette trame s’étende à la 5D, bien que la 5D ne puisse jamais être traversée en entier. C’est en ce sens que la ”trame 3D” peut également être représentée sous la forme d’une ”Spirale 3D” qui se superpose à la ”Spirale 5D”. Mais si ces spirales ont une longueur infinie identique, où se trouve alors la différence entre les 3D infinies et la 5D infinie ? C’est que la ”Spirale 3D” s’appuie sur la ”trame 3D” pour montrer que même dans la 5D, toutes choses restent toujours localisables, alors qu’au contraire la ”Spirale 5D” observe que le bout de la spirale se trouve toujours à une distance identique des “non bord”… Le concept de la ”Spirale 5D” s’appuie sur la globalité de la dimension 5D pour démontrer que toutes choses sont dans un même ”nulle part” par rapport au “non bord”, tandis que la ”Spirale 3D” montre que si nous voulions rejoindre l’infini depuis n’importe quel endroit de l’univers, en déroulant une telle spirale, on n’arriverait jamais à parcourir l’ensemble d’une ”Spirale 5D”. C’est pourquoi, si la ”Spirale 5D” est parfaite pour se représenter la 5D, elle ne se préoccupe jamais de savoir comment parcourir l’entièreté de la spirale. En revanche, la ”Spirale 3D” s’occupe de la question de comment parcourir une telle distance depuis la ”trame 3D”. La ”trame 3D” est très utile pour réaliser l’impossibilité de rejoindre la 5D depuis les 3D. Elle se distingue donc de la ”Spirale 5D” en montrant qu’il est impossible de rejoindre la 5D tout en apportant la preuve. Ces deux spirales permettent de dissocier le monde des 3D, où les distances parcourues sont indéfiniment finies. Contrairement à la ”Spirale d’EterniGo” qui nécessite un “passé 6D“ ou un “futur 6D“ pour être ”théoriquement” accomplissable, la ”Spirale 3D” est toujours mesurée comme un ruban de mesure que l’on pourrait dérouler indéfiniment sans toutefois jamais en arriver à bout, ce qui prouve que la 5D est inatteignable depuis les 3D. Les deux concepts permettent également de dissocier que bien que les 3D s’étendent indéfiniment dans la 5D, les 3D, bien qu’ils fassent partie de la 5D, sont indéfiniment séparées en même temps de celle-ci par le temps infini qu’il faudrait pour rejoindre la 5D.



"Spirale 4D" : En tentant de remonter le passé du voyage de l’EterniGo par le déroulement de la "Spirale d’EterniGo" à partir du point présent "B", il apparaît impossible d’atteindre une durée infinie en 6D. Cette observation pose un paradoxe : si un temps infini est nécessaire pour remonter au "non début" de la 6D, il devrait être théoriquement impossible d'atteindre "B" depuis la 6D, et pourtant, puisque "B" advient au présent, cela est paradoxalement possible. La question est donc de savoir comment une "Spirale 4D" peut finaliser une "Spirale 6D" pour se superposer intégralement à la même façon que la "Spirale 3D" superpose la "Spirale 5D", et si cela est réellement possible ou non. La "Spirale 4D" illustre l'impossibilité de finaliser une "Spirale 6D" et le paradoxe du "non début".


“Spirale 5D” : est un outil pratique pour visualiser la 5D comme une dimension à part entière, indépendante des 3D. Elle représente la dimension infinie de l’univers sans bord. Si nous imaginons la dérouler, tel un rouleau de scotch, nous constatons qu’elle reste toujours à une distance infinie du centre, quelle que soit la distance déroulée, que ce soit d’un mètre ou d’un milliard d’années-lumière. Ce déploiement n’aurait pas entamé sa part enroulée qui resterait toujours infinie. Ainsi, cet objet ne peut appartenir aux 3D, car il n’a pas de dimension mesurable en 3D et est un objet 5D.


"Spirale 6D" : représente parfaitement la dimension 6D de l'éternité, ne pouvant pas appartenir à la 4D du temps. Si l’extrémité de la spirale représente le présent et son centre le passé éternel, nous nous rendrions compte que si nous tentions de la dérouler pour remonter le passé d’un jour ou de 13,8 milliards d’années jusqu’au Big Bang, arrivée au Big Bang, sa partie enroulée serait toujours à une éternité du centre. Puisque l’éternité ne peut être mesurée en temps, elle doit appartenir à une 6e dimension, à part de la 4D du temps. Cette représentation parfaite de la 6D soulève le paradoxe du ”jamais commencement”. Comment le présent et le Big Bang, ou n’importe quel événement, peuvent-ils avoir eu lieu s’ils dépendent d’un passé qui n’a jamais commencé ? Comment peut-il y avoir un commencement d’un événement si ce même événement remonte à un passé sans commencement au centre de la “Spirale 6D“ ?


”Spirale d’EterniGo” : le voyage sans commencement de l'EterniGo peut être représenté grâce à cette spirale sans départ en son centre. Infinie en longueur et en durée, elle a l’avantage de superposer une spirale 5D et 6D en une seule entité. Bien que le voyage de l’EterniGo soit une fiction, sa spirale peut sans problème être utilisée pour se représenter l’endroitie depuis un "non début" dans le "passé 6D", car tout comme l’EterniGo n’aurait jamais commencé, il en serait exactement de même pour l’endroitie au sein de la “Spirale 6D“. Ainsi, la "Spirale d’EterniGo” s’applique au-delà du voyage de l’EterniGo sur l’endroitie au sein d’un "jamais commencement” dans la 6D. La "Spirale d’EterniGo” constitue une représentation de l’endroitie en 5D et 6D, une notion rendue moins abstraite grâce à la "Spirale d’EterniGo”.


Spirale PE/MR : se forme lorsque l'on replie indéfiniment une échelle PE/MR pour créer de nouvelles spires à chaque moitié restante. La question de savoir si cette spirale aurait un point de départ est "non", car son nombre infini de spires rendrait tout point central introuvable et inexistant. En zoomant dans l’infiniment petit sur cette spirale, on constaterait un fractal similaire à une échelle PE/MR. Elle démontre qu'il est possible de dessiner une spirale parfaite à partir d'un parcours fini, et son parcours soulève la même énigme que celui de l'échelle PE/MR.


Stature : La stature représente la dimension corporelle d’un observateur et comment elle influence la perception de notre environnement. Elle varie en fonction de la taille de l'observateur, par exemple, une fourmi n'a pas la même stature qu'une baleine ou une galaxie. La stature est le facteur qui détermine comment nous percevons la taille des objets dans notre environnement en fonction de notre propre taille corporelle. Le terme stature est souvent remplacé par « PFS » même si ces deux termes n’ont pas exactement la même caractéristique, ils concernent tous deux la stature et en sont indissociable, c’est pourquoi l’appellation PFS remplace couramment la stature si le cas est approprié et le permet. (Pour plus d'infos, voir la définition du PFS) 


Téléportation : Si dans la 6D, les événements passés, présents et futurs se trouvent au même point du "Jamais Commencement" par rapport au centre de la spirale 6D, je suggère que la position de départ ”A”  et d'arrivée ”B” 

d'un mobile pourrait se superposer en un seul point transfini où le temps n'existe plus dans la 6D. Dans cette perspective, ils existeraient de manière bilocalisée sur toute la durée de leur existence, passée, présente et future, dans cette dimension parallèle de la 6D. Je me demande si la téléportation pourrait être réalisable si l'on parvient à comprendre comment exploiter cette réalité parallèle présente dans la 6D.


Temps endroitique : Si les 3D s’étendent à l’infini dans la 5D, par la “Spirale 3D”, alors chaque lieu est unique et localisable malgré les “non bords”, ce qui suggère que lorsqu’un mobile passe de “A” à “B”, il se déplacerait réellement malgré les “non bords” de la 5D. La question de savoir si cela est réellement possible par rapport au “non début” n’est pas certaine. Cependant, c’est sur cette base que le “temps endroitique” propose de postuler que si un objet se déplace réellement, malgré le “non début” et les “non bords”, alors le mouvement, et donc le temps, pourraient être réels et dans ce cas les conjonctures endroitiques “A”, “B”, “C”, seraient non seulement séparées dans l’espace mais aussi dans le temps et surviendraient à des moments uniques encore jamais atteints par l’endroitie malgré les paradoxes du “non début”. Dans cette hypothèse, à chaque instant, l’endroitie prendrait une conjoncture encore jamais exercée par l’univers, et la position d’une aiguille d’horloge pourrait être associée à l’endroitie de l’univers entier, créant ainsi une notion de “temps endroitique” parfaitement factuelle. Cette théorie propose une alternative à l’hypothèse d’un “temps” purement illusoire et holographique, et à un “univers bloc”. Elle s’oppose à l’hypothèse de la bilocation, elle propose au contraire que les 4D seraient non holographiques, mais parfaitement factuelles par l’extension de la “trame 3D” de la “Spirale 3D” à la 5D à l’infini. Toutefois, cette hypothèse n’explique en rien comment concilier cette vision avec un “jamais commencement” dans la 6D. Le paradoxe reste à comprendre : comment une conjoncture peut-elle passer de “A” à “B” si ces événements dépendent d’un “jamais commencement” et malgré le PE/MR ? Ainsi le “temps endroitique” renforce les paradoxes liés au “non début” plutôt que de les résoudre. (Chapitre 3)


"temp" : Terme employé pour faire référence au temps tel que nous le concevons habituellement, c'est-à-dire s'écoulant de manière linéaire et constante. Sa réalité objective est toutefois mise en doute lorsqu'on l'examine à la lumière de l'éternité, telle qu'explorée dans les concepts du PE-MR et de l'EterniGo.


TMPT (Tranche Minimum de Perception Temporelle) : elle représente la plus petite tranche de "temps" que notre système perceptif peut discerner. C'est une unité de mesure qui met en lumière la façon dont notre cerveau "pixelise" le temps en tranches discernables afin d'interpréter le mouvement et le changement. Plus un événement dure longtemps, plus il comprend un grand nombre de TMPT. 

La TMPT se situe à la limite du visible, tandis que le PFT marque la limite de l'invisible. La TMPT se trouve immédiatement après le PFT, qui est le "point de fuite temporel".


"trame 3D" ou ”Spirale 3D” :

Si un vaisseau s’éloigne indéfiniment de la Terre en ligne droite, il serait impossible de rejoindre les “non bord” de la 5D, car il faudrait une durée infinie pour pouvoir le faire. Le terme ”trame 3D” rappelle qu’il est impossible de s’extraire des 3D pour atteindre la 5D pour cette même raison. S’il en est ainsi, il est probable que cette trame s’étende à la 5D, bien que la 5D ne puisse jamais être traversée en entier. C’est en ce sens que la ”trame 3D” peut également être représentée sous la forme d’une ”Spirale 3D” qui se superpose à la ”Spirale 5D”. Mais si ces spirales ont une longueur infinie identique, où se trouve alors la différence entre les 3D infinies et la 5D infinie ? C’est que la ”Spirale 3D” s’appuie sur la ”trame 3D” pour montrer que même dans la 5D, toutes choses restent toujours localisables, alors qu’au contraire la ”Spirale 5D” observe que le bout de la spirale se trouve toujours à une distance identique des “non bord”… Le concept de la ”Spirale 5D” s’appuie sur la globalité de la dimension 5D pour démontrer que toutes choses sont dans un même ”nulle part” par rapport au “non bord”, tandis que la ”Spirale 3D” montre que si nous voulions rejoindre l’infini depuis n’importe quel endroit de l’univers, en déroulant une telle spirale, on n’arriverait jamais à parcourir l’ensemble d’une ”Spirale 5D”. C’est pourquoi, si la ”Spirale 5D” est parfaite pour se représenter la 5D, elle ne se préoccupe jamais de savoir comment parcourir l’entièreté de la spirale. En revanche, la ”Spirale 3D” s’occupe de la question de comment parcourir une telle distance depuis la ”trame 3D”. La ”trame 3D” est très utile pour réaliser l’impossibilité de rejoindre la 5D depuis les 3D. Elle se distingue donc de la ”Spirale 5D” en montrant qu’il est impossible de rejoindre la 5D tout en apportant la preuve. Ces deux spirales permettent de dissocier le monde des 3D, où les distances parcourues sont indéfiniment finies. Contrairement à la ”Spirale d’EterniGo” qui nécessite un “passé 6D“ ou un “futur 6D“ pour être ”théoriquement” accomplissable, la ”Spirale 3D” est toujours mesurée comme un ruban de mesure que l’on pourrait dérouler indéfiniment sans toutefois jamais en arriver à bout, ce qui prouve que la 5D est inatteignable depuis les 3D. Les deux concepts permettent également de dissocier que bien que les 3D s’étendent indéfiniment dans la 5D, les 3D, bien qu’ils fassent partie de la 5D, sont indéfiniment séparées en même temps de celle-ci par le temps infini qu’il faudrait pour rejoindre la 5D.


Univers bloc : C'est une théorie scientifique hypothétique selon laquelle le passé, le présent et le futur coexistent simultanément dans un "bloc" d'espace-temps, suggérant que notre perception linéaire du temps est une illusion. J'ai été très surpris quand j'en ai entendu parler pour la première fois, car ce que cette théorie propose ressemble énormément à mes propres hypothèses sur la 6D, sur lesquelles je travaille depuis 2005, envisageant que passé, présent et futur devraient se superposer dans l'éternité. Basée principalement sur la relativité restreinte et la relativité générale d'Albert Einstein, l'univers bloc part du principe que le temps peut s'écouler à des vitesses variables selon les régions de l'univers, rendant les notions de passé, présent et futur subjectives à notre perception. Ce serait notre conscience qui se déplace dans le temps, créant l'illusion que le temps s'écoule, un peu comme lorsqu'on voyage dans un train et que c'est nous qui nous déplaçons alors que le paysage semble défiler. "L'Univers bloc" suggère ainsi que le temps, tout comme un paysage statique, serait en fait immobile et que notre expérience de son écoulement serait une illusion créée par notre esprit. Ce serait notre conscience qui voyage à travers le paysage du temps qui produirait l’illusion que le temps s’écoule.


“Voyage de l’EterniGo” : C’est une expérience imaginaire dans laquelle un vaisseau voyage depuis l’éternité (6D) à une vitesse de 1 cm par heure. Partant éternellement avant le Big Bang, ce voyage pose un défi logique, car un parcours sans commencement pourrait générer une distance sans fin (5D), même à une vitesse de 1 cm par heure. L’arrivée de l’EterniGo, qui n’a jamais commencé son voyage, pose une énigme : comment est-ce possible qu’il soit arrivé ? Plus qu’une simple métaphore, le voyage de l’EterniGo reproduit avec exactitude le présent qui advient malgré un passé sans commencement dans l’éternité, conformément aux trois postulats du vide. Cette métaphore pose également la question de comment traverser l’infini 5D. C’est donc plus qu’une simple fiction, mais un outil puissant pour se représenter la problématique de l’espace et du temps dans la réalité de l’éternité et de l’infini.