Découverte : la machine de l’EterniGo révèle l’univers en 6D. Chapitre 2

Mon livre

Note : Ce chapitre vient d’être

 modifié de fond en comble pour refléter l’évolution des théories. Les sous-titres similaires traités dans le chapitre 1 ont été supprimés et remplacés par de nouveaux, couvrant des sujets jusqu’alors non abordés. Version 24 du 25 mars 2024.


©️Olivier Dusong 1998 - 2024



1. L’invention du terme "endroitie"


L'endroitie est un terme que j'ai inventé pour décrire l'état d'un endroit englobant la totalité de l'univers. Ainsi, elle représente la position de tous les objets de l'univers, et elle change constamment en raison du mouvement perpétuel de toutes choses dans l'univers. L'état de l'endroitie évolue en fonction de l'instant où elle est observée, de sorte qu'elle n'est pas dans le même état d'une génération à une nanoseconde à l'autre.


Mais quand on considère, conformément aux trois postulats du vide, que l'endroitie remonte à un passé en 6D sans commencement, alors se pose une question cruciale : comment chaque chose aurait-elle pu arriver à sa position actuelle dans le présent si ce même présent découle d'un passé sans commencement ?


Quand on tente de mesurer le temps du présent au Big Bang, c’est possible ; toutefois, mesurer depuis le Big Bang jusqu’au “non début” de l’éternité s’avère impossible. La “Spirale 6D”, n’ayant qu’un seul bout représentatif du présent et s’enroulant à l’infini sans point de départ en son centre inexistant, défie toute tentative de mesure en “durée”. Ainsi, l’absence de commencement dans l’éternité 6D complique grandement la compréhension de la position spatiale actuelle de chaque élément, y compris nous-mêmes, dans l’endroitie. La question se pose donc : comment l’endroitie a-t-elle pu arriver à son état actuel si elle dépend d’un “non début” ? Justifier la position spatiale actuelle de tout élément de l’endroitie devient alors très problématique.


De la même manière, le "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PE/MR), du chapitre 1, montre un paradoxe semblable de "non début" et de "non fin", où, logiquement, le présent ne devrait pas exister, et pourtant, il se réalise, créant ainsi un paradoxe qui requiert une explication. Dans ce chapitre, je vais tenter d'offrir mes propres interprétations pour essayer d'apporter une explication à ces casse-têtes complexes.


2. Avec l'endroitie, la spirale d'EterniGo dépasse la fiction


Bien que le voyage de l’EterniGo paraisse de prime abord être une fiction, car il est impensable qu’un objet puisse entamer un voyage depuis l’éternité, cette perspective ne doit pas oublier un élément crucial : l'existence de tout objet dépend aussi de son passé 6D.


C’est bien le cas ! Du moins dans notre univers, limité à une perception de quatre dimensions, où l'existence de tout possède une cause initiale sans laquelle rien ne peut exister. Dans cette contrainte perceptive, si l'on construit une maison aujourd'hui, il est impensable de construire le toit avant les fondations.


De même, aucun objet matériel ne peut apparaître avant la formation initiale de la matière. Sans le Big Bang, l'émergence de nouveaux objets matériels serait impensable.


Dans ce cas, l'existence de tout, y compris nous-mêmes à ce jour, et notre position dans l'univers sont inextricablement liées à notre passé, qui nous ramène au Big Bang. Ce dernier renvoie à un passé sans commencement, situé dans la dimension 6D de l'éternité.


Ainsi, sans un début à notre existence, notre position dans l'espace et le temps devient aussi mystérieuse que l'arrivée de l'EterniGo dans le salon. Cette interrogation sur comment nous pouvons exister aujourd'hui, à l'endroit précis où nous nous trouvons dans l'endroitie, s'étend à tout ce qui existe dans l'univers, qu'il s'agisse d'êtres vivants ou d'objets matériels inanimés, et donc à l'endroitie dans son ensemble. Comment est-elle parvenue au présent si elle dépend d'un passé sans début dans la dimension 6D ?


La métaphore de l'EterniGo offre un cadre permettant de visualiser non seulement la position de l'EterniGo, mais aussi celle de l'endroitie depuis le "non début". Ainsi, elle va au-delà d'une simple allégorie. La "Spirale d'EterniGo" illustre en effet l'état de l'endroitie, facilitant sa représentation dans un contexte abstrait de "non début" dans la 6D. La "Spirale d'EterniGo" devient alors un outil conceptuel puissant pour envisager l'univers entier tel qu'il pourrait exister dans sa forme éternelle et infinie, au sein d'une cosmologie révélée en 6D.


Bien que la position de l'EterniGo soit métaphorique et purement conceptuelle, elle devient aussi cruciale que les heures et les jours, qui sont eux-mêmes des concepts mentaux utilisés pour mesurer le temps et en faciliter la communication et la quantification. La position imaginaire de l'EterniGo, que ce soit dans le salon ou à tout autre moment de son trajet sans début, nous offre l'opportunité de réfléchir et fournit un cadre robuste pour visualiser l'état de l'endroitie à un instant donné, que ce soit le point A ou B, ces derniers représentant des points de départ et de fin d'événement.


3. La fenêtre de vie": L’univers 4D est-il un hologramme ?


Depuis l'origine de l'univers, avec le Big Bang, jusqu'à notre époque, l'histoire de l'univers se déroule, marquée par les vies de nombreuses générations. Chaque génération vit dans une époque avec une endroitie propre, relative à l’époque qu’il observe depuis sa tranche de vie et l’époque de son incarnation. En utilisant la métaphore du voyage de l'EterniGo, on comprend que sa position aurait varié significativement si une personne vivait à l'époque des dinosaures comparée à aujourd'hui, où l'EterniGo est censé arriver dans le salon. L'époque à laquelle vit un individu influence donc directement sa perception de l'endroitie, c’est-à-dire l'état spatial global de l'univers, affectant la localisation de chaque élément en son sein.


Cette perspective unique, de la nature endroitique et donc de la répartition tridimensionnelle de chaque chose dans l’univers limitée par la durée de vie de chaque personne, découpe une section finie de la "Spirale 6D" de l'éternité, offrant à chaque individu une tranche temporelle spécifique à vivre et à observer l'univers. J’ai appelé cette tranche de vie d’où chaque individu observe le monde propre à sa génération, la “fenêtre de vie“ 


La "fenêtre de vie", période entre la naissance et la mort, tranche la continuité infinie de la "Spirale 6D" de l’éternité, en une portion finie, créant une perception du temps mesurable pour l'individu. Cette perception est elle-même subdivisée en tranches minimales de perception temporelle (TMPT), sans lesquelles chaque moment de la vie semblerait éternel, car nous serions capables de percevoir l'éternité même dans les plus infimes durées comme ceux du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR). 


Notre conscience, restreinte à ces TMPT, transforme l'action éternelle, sans début ni fin en une séquence d'instants perçus. Ainsi, l'illusion du temps qui avance se construit, malgré la nature éternelle de chaque action dans le "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PE/MR), à travers l'enchaînement de ces TMPT finis au sein de notre "fenêtre de vie". 


Une fois ces tranches épuisées, elles donnent l’impression d’une action terminée qui, pour l’individu, se range alors parmi les événements passés. Les TMPT, une fois écoulés et enregistrés chronologiquement dans notre cerveau, semblent constituer un passé révolu. Notre cerveau, captant seulement une série limitée de ces segments temporels et ces TMPT se retrouvant en nombre limité en tous action, forge ainsi l’illusion d’une progression temporelle finie.


Lorsque nous percevons ces TMPT comme étant immédiats, ils occultent l’éternité qui continue au-delà du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR). Notre perception d’un temps séquentiel et continu émerge de l’enchaînement mémorisé de ces instants, bien que leur instantanéité dissimule l’éternité et l’infini d’un univers qui dépasse largement nos perceptions sensorielles, confinées à une réalité interprétée et restreinte par nos perceptions incomplètes de la réalité.


Notre interprétation du mouvement repose donc sur une réalité masquée par les TMPT, révélant que notre perception de la durée des événements est une illusion influencée par la quantité finie de TMPT qu’un individu parvient à mémoriser au sein de l’éternité du PE/MR. 


La “fenêtre de vie” segmente la “Spirale d’EterniGo” ainsi que la “Spirale 6D”, révélant une endroitie spécifique à la génération d’incarnation de l’individu. Cela crée l’état de l’endroitie propre à la génération d’observations de cette “fenêtre de vie”.


Mais cette perception est incomplète, car l’individu à travers sa “fenêtre de vie“ ne perçoit ni l’éternité du passé 6D, ni ce qui s’exerce dans l’ultracourt du ‘Parcours Éternel des Moitiés Restantes’ (PE/MR) en dessous des TMPT: (tranche minimum de perception temporelle).


Les TMPT, agissent comme des stimuli sensoriels minimum au-dessous desquels l’éternité du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) est invisible. C’est ainsi que les TMPT donnent l’illusion d’une instantanéité là où l’action n’a en réalité aucune fin sans “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR). La “fenêtre de vie“ est comme un cadre qui montre qu’une partie finie de la “Spirale 6D“ rendant l’illusion du fini au sein de l’éternité 6D.

3. La fenêtre de vie": L’univers 4D est-il un hologramme ?


Depuis l'origine de l'univers, avec le Big Bang, jusqu'à notre époque, l'histoire de l'univers se déroule, marquée par les vies de nombreuses générations. Chaque génération vit dans une époque avec une endroitie propre, relative à l’époque qu’il observe depuis sa tranche de vie et l’époque de son incarnation. En utilisant la métaphore du voyage de l'EterniGo, on comprend que sa position aurait varié significativement si une personne vivait à l'époque des dinosaures comparée à aujourd'hui, où l'EterniGo est censé arriver dans le salon. L'époque à laquelle vit un individu influence donc directement sa perception de l'endroitie, c’est-à-dire l'état spatial global de l'univers, affectant la localisation de chaque élément en son sein.


Cette perspective unique, de la nature endroitique et donc de la répartition tridimensionnelle de chaque chose dans l’univers limitée par la durée de vie de chaque personne, découpe une section finie de la "Spirale 6D" de l'éternité, offrant à chaque individu une tranche temporelle spécifique à vivre et à observer l'univers. J’ai appelé cette tranche de vie d’où chaque individu observe le monde propre à sa génération, la “fenêtre de vie“ 


La "fenêtre de vie", période entre la naissance et la mort, tranche la continuité infinie de la "Spirale 6D" de l’éternité, en une portion finie, créant une perception du temps mesurable pour l'individu. Cette perception est elle-même subdivisée en tranches minimales de perception temporelle (TMPT), sans lesquelles chaque moment de la vie semblerait éternel, car nous serions capables de percevoir l'éternité même dans les plus infimes durées comme ceux du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR). 


Notre conscience, restreinte à ces TMPT, transforme l'action éternelle, sans début ni fin en une séquence d'instants perçus. Ainsi, l'illusion du temps qui avance se construit, malgré la nature éternelle de chaque action dans le "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PE/MR), à travers l'enchaînement de ces TMPT finis au sein de notre "fenêtre de vie". 


Une fois ces tranches épuisées, elles donnent l’impression d’une action terminée qui, pour l’individu, se range alors parmi les événements passés. Les TMPT, une fois écoulés et enregistrés chronologiquement dans notre cerveau, semblent constituer un passé révolu. Notre cerveau, captant seulement une série limitée de ces segments temporels et ces TMPT se retrouvant en nombre limité en tous action, forge ainsi l’illusion d’une progression temporelle finie.


Lorsque nous percevons ces TMPT comme étant immédiats, ils occultent l’éternité qui continue au-delà du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR). Notre perception d’un temps séquentiel et continu émerge de l’enchaînement mémorisé de ces instants, bien que leur instantanéité dissimule l’éternité et l’infini d’un univers qui dépasse largement nos perceptions sensorielles, confinées à une réalité interprétée et restreinte par nos perceptions incomplètes de la réalité.


Notre interprétation du mouvement repose donc sur une réalité masquée par les TMPT, révélant que notre perception de la durée des événements est une illusion influencée par la quantité finie de TMPT qu’un individu parvient à mémoriser au sein de l’éternité du PE/MR. 


La “fenêtre de vie” segmente la “Spirale d’EterniGo” ainsi que la “Spirale 6D”, révélant une endroitie spécifique à la génération d’incarnation de l’individu. Cela crée l’état de l’endroitie propre à la génération d’observations de cette “fenêtre de vie”.


Mais cette perception est incomplète, car l’individu à travers sa “fenêtre de vie“ ne perçoit ni l’éternité du passé 6D, ni ce qui s’exerce dans l’ultracourt du ‘Parcours Éternel des Moitiés Restantes’ (PE/MR) en dessous des TMPT: (tranche minimum de perception temporelle).


Les TMPT, agissent comme des stimuli sensoriels minimum au-dessous desquels l’éternité du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) est invisible. C’est ainsi que les TMPT donnent l’illusion d’une instantanéité là où l’action n’a en réalité aucune fin sans “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR). La “fenêtre de vie“ est comme un cadre qui montre qu’une partie finie de la “Spirale 6D“ rendant l’illusion du fini au sein de l’éternité 6D.

Cette perspective met en lumière comment notre perception du monde, y compris les notions de temps et d'espace, est fortement influencée par notre "fenêtre de vie" – cette période unique qui s'étend de notre naissance à notre mort. Cette fenêtre nous offre une vision spécifique de l'univers, qui pourrait ne pas refléter toute la vérité de notre existence.


Imaginez un instant que tout ce que nous percevons dans les dimensions 3D et 4D soit simplement une interprétation de notre esprit, limitée par cette fenêtre de vie et par nos tranches minimales de perception temporelle (TMPT). Au-delà de cette vision restreinte, dans des dimensions supérieures comme la 5D et la 6D, les concepts mêmes de temps et d'espace tels que nous les connaissons pourraient ne pas exister. Cela indique que l'univers est potentiellement bien plus complexe que ce que notre perception actuelle nous laisse entrevoir, et que notre expérience du temps et de l'espace pourrait n'être qu'une illusion ou une construction mentale basée sur des perceptions sensorielles partielles et incomplètes.


Ma théorie suggère que l'univers en 4D que nous expérimentons pourrait être une représentation imparfaite de la réalité, fabriquée par notre esprit. En d'autres termes, l'univers que nous connaissons, avec son espace en 3D et son temps linéaire, pourrait ne pas exister en dehors de notre perception limitée et de l'interprétation de notre esprit. Ce que nous percevons comme la réalité pourrait être comparé à un hologramme, une image projetée par notre esprit basée sur des TMPT qui nous permettent d'interpréter notre environnement, bien que cette interprétation ne soit pas nécessairement la réalité objective.


Les TMPT, fonctionnant comme des images fixes sur une bobine de film, ne bougent pas isolément. Cependant, lorsqu'elles sont projetées en séquence rapide sur l'écran de notre mémoire, elles s'animent et créent l'illusion d'un mouvement continu. Cette succession de TMPT dissimule la dimension éternelle de chaque action dans le "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PE/MR), nous faisant croire à un début et à une fin là où il n'y en a pas. En réalité, le temps ne s'écoule pas en relation avec le "non début" de la "Spirale 6D" ou la nécessité de traverser éternellement le PE/MR.


4. L’utilité du concept de la ”Spirale d’EterniGo” 


Ainsi, la métaphore du voyage de l'EterniGo sert à illustrer que, selon l'époque d'incarnation, appelée fenêtre de vie ou fenêtre d’incarnation, la perception de l'EterniGo et de l'organisation de l'endroitie varierait considérablement. La perception de la position de l'EterniGo et de l'état de l'endroitie est donc entièrement relative à la tranche temporelle vécue par les individus à travers leur propre "fenêtre de vie", définie par leur génération d'incarnation personnelle.

Dans ce schéma, imaginons la "Spirale d'EterniGo", qui fusionne une "Spirale 5D" et une "Spirale 6D" en une seule. Visualisons également deux "fenêtres de vie" distinctes qui coupent la ”Spirale d’EterniGo” en segment de temps "fini"

: l'une à l'époque des pharaons et l'autre aujourd'hui, où l'EterniGo est présent dans le salon. Pour nous, l'EterniGo occupe le salon, mais pour les pharaons, sa position et l'organisation spatiale de l'univers seraient complètement différentes. Les pharaons percevraient l'EterniGo et l’endroitie à un moment passé par rapport à nous, mais dans l'éternité, cette différence de temps perd son sens. La genèse de leur époque ou de la nôtre remonte toujours à un passé sans début, au cœur de la "Spirale 6D", où le temps et l'espace se figent. Dans ce contexte, la survenue de leurs générations ou de la nôtre se trouve exactement au même endroit du "jamais commencement", et ces deux périodes séparées pour nous cohabitent au même "non début" dans la 6D, les faisant se superposer. Dans cette réalité parallèle, invisible à nos sens, toute notion de "temps", d'endroitie et d'un univers en quatre dimensions s'effondre, laissant place à une réalité parallèle. Similaire à un "univers bloc", cet univers est dépourvu de temporalité, où le passé, le présent et le futur se superposent dans une dimension hors du temps.


Bien que l'EterniGo soit un concept fictif, imaginer son voyage à travers un passé sans début, en parallèle avec l'évolution de l'endroitie, nous offre un cadre conceptuel puissant pour mieux comprendre le défi posé par l'existence même de l'endroitie dans un contexte où le début de l’endroitie dépend lui-même d’une absence de commencement dans un passé 6D sans début. Cela nous aide également à explorer sa relation avec la localisation spatiale dans les dimensions 3D en fonction de l’épuisement propre au "tranche minimum de perception temporelle : TMPT" qui donne l’illusion que le "temps" avance linéairement dans un sens lorsqu’ils s’impriment sur "l’écran" de notre mémoire.


En visualisant la fiction du voyage de l'EterniGo, on réfléchit sur la position réelle de chaque chose dans l’endroitie qui, similairement, remonte également à un passé 6D sans commencement. À l’instar de l’arrivée au salon, comment chaque chose occupe-t-elle sa place si elle dépend de la survenue de la matière au Big Bang lui-même interdépendant d’un passé sans début dans la 6D ?


En visualisant sa trajectoire, l'EterniGo nous permet de comprendre que sa position, perçue différemment au temps des pharaons et aujourd'hui, est entièrement relative au point d'observation dans l'univers, défini par notre "fenêtre de vie". Cette perception rend la position de l'EterniGo aussi cruciale à notre compréhension du temps que les aiguilles d'une horloge, qui mesurent les heures d'un événement à l'autre.


Dans notre réalité actuelle, l’EterniGo apparaît dans le salon, mais pour les pharaons, sa localisation serait radicalement différente, reflétant sa position à leur propre époque. Cette transition de l’EterniGo, de l’ancienne Égypte à notre ère, illustre comment un seul élément peut influencer la totalité de l’endroitie de l’univers. De manière similaire, nos mouvements quotidiens, aussi minuscules soient-ils, participent à cette dynamique de transformation spatiale globale de l’endroitie. Ainsi, tout comme l’EterniGo trace

son chemin depuis un passé sans début, chaque composant de l'univers trouve son origine à un moment donné, inextricablement lié à l'instant de création de la matière lors du Big Bang. Cet instant initial est lui-même connecté à la manifestation du vide, ancrant ainsi l'existence de toute chose dans un "non début" commun au sein de la dimension 6D, à l'instar du voyage de l'EterniGo. Ce voyage fictif nous permet de visualiser l'état de l'endroitie dans un univers sans commencement.


En remontant le temps avec l'EterniGo jusqu'au Big Bang, nous constatons clairement un avant et un après. Toutefois, concernant l'avant Big Bang, cette partie "avant" ne s'achève pas ; elle s'enroule sans fin dans la spirale 6D, indiquant qu'il est impossible de mesurer la position de l'EterniGo dans les 3D ou dans le "temps" dans cette éternité.


Cela revient à tenter de comprendre comment, dans cet univers sans début, nous arrivons au présent. Si on devait traverser une éternité pour arriver ici, comment serait-ce possible, étant donné qu'une éternité, par définition, ne peut pas être traversée ?


5. l’univers bloc


Voilà qui rappelle "l'univers bloc", une théorie basée sur l'interprétation de la relativité d'Einstein. Dans cette perspective, le présent varie selon les endroits dans l'univers, suggérant que le passé, le présent et le futur pourraient être interchangeables en fonction de notre expérience du temps, ou le futur de quelqu'un pourrait devenir le passé de quelqu'un d'autre dans un autre référentiel.


Par exemple, en tombant dans un trou noir, le temps ralentirait indéfiniment pour nous, tandis que des observateurs sur Terre nous percevraient figés. Dans cette situation, en revenant sur Terre, des milliers d'années se seraient écoulées dans le futur terrestre, selon notre référentiel et expérience temporelle. Ainsi, notre présent pourrait être décalé de milliers d'années dans le futur par rapport à ceux restés sur Terre, tandis que pour ces derniers, notre présent serait perçu comme datant de milliers d'années dans le passé. Cette observation a conduit de certains scientifiques à penser que, malgré les apparences sensorielles, le temps n'est pas forcément linéaire et que son écoulement pourrait résulter d’une illusion. Ainsi, "l’univers bloc" suggère que le passé, présent et futur devraient coexister simultanément en un seul bloc figé où la cause et l’effet coexistent sans écoulement de temps dans une réalité plus vaste en aval de nos perceptions limitées et possiblement erronées de la réalité, ce qui s’aligne parfaitement sur mes théories. 


6. La bilocation 


Dans cette réalité invisible, le présent des pharaons coexisterait avec tous les instants, infiniment éloignés, superposés au centre de la spirale transfinie de l'éternité. Ainsi, l'instant où mon œuf aurait commencé sa chute et celui où il se casse au sol coexisteraient avec n'importe quelle autre époque, que ce soit le présent actuel ou celui des pharaons. L'œuf, existant à la fois dans sa position initiale et cassé au sol, serait également bilocalisé sur toute la longueur de sa trajectoire.


7. Les implications technologiques de la bilocation


Si, dans le "non début" de la 6D, passé, présent et futur coexistent, les points de départ (A) et d'arrivée (B) d'un mobile se superposeraient également dans cet état. Cela implique qu'un mobile pourrait être bilocalisé, occupant simultanément toutes les positions entre A et B le long de son parcours. Une civilisation comprenant ces réalités parallèles dans la 6D pourrait les exploiter, éliminant la nécessité de déplacement entre A et B dans cette autre réalité, où la 4D serait une illusion et A et B coexisteraient dans la 6D.


En sachant que ces points se superposent en ce "non début" de la 6D, on pourrait comprendre que le déplacement est une illusion. Si l'on comprenait cette illusion jusqu'à savoir comment s'en extirper, nous pourrions possiblement comprendre que le déplacement est inutile en dehors de cette illusion. Cette découverte nous affranchirait des limites imposées par la vitesse de la lumière dans notre monde sensoriel limité à 4D, révolutionnant ainsi les possibilités de voyages. La téléportation deviendrait possible, de même que le voyage dans le temps, sans les contraintes associées aux trous noirs ou aux vitesses proches de celle de la lumière.


Cette liberté nous permettrait de nous téléporter instantanément vers n'importe quel moment du passé ou du futur, ouvrant un champ infini pour explorer notre réalité au-delà des barrières du temps linéaire. Cela pourrait également éclairer le paradoxe du PE/MR, potentiellement expliqué par l'existence de dimensions supplémentaires telles que l'infini et l'éternité. Ces idées évoquent les théories des trous de ver et des trous noirs, servant de portes spatio-temporelles pour atteindre différentes régions de l'univers, défiant les distances classiques en 3D et la limite de la vitesse de la lumière. 


Cette compréhension pourrait éclairer des phénomènes mal compris de la physique quantique, comme l'intrication et la dualité onde - corpuscule. ainsi que des phénomènes considérés jusqu'à présent comme paranormaux ou mystiques, tels que la bilocation, les voyages astraux, les expériences de mort imminente, ou certains phénomènes parapsychiques. 


8. La 6D aurait-elle une conscience ?


Si l'éternité offre la possibilité que les événements infiniment passés et futurs se superposent et interagissent dans un "non début", pourrait-il exister une mémoire infinie de l'univers ? Envisager que chaque instant, du commencement des temps jusqu'à l'éternité, soit simultanément présent et enregistré dans cette dimension hors du temps, soulève des questions passionnantes sur la nature de cette 6e dimension. Ainsi, cette 6D pourrait-elle renfermer une forme de conscience infinie, une omniscience ?


Cette interrogation ouvre des perspectives fascinantes sur la manière dont le temps, l'espace et la connaissance pourraient intrinsèquement coexister simultanément, tels des données sur un disque dur universel infini. Si l'éternité possédait une forme de conscience, on peut alors se demander si elle pourrait être consciente d'elle-même, agir avec intention et volonté, exerçant ainsi une influence sur l'univers tel un créateur ou un horloger. Cette notion évoque étrangement l'idée de l'existence de Dieu ou des annales akashiques, évoquées abondamment à travers les époques et les cultures ainsi que les traditions spirituelles. 


Les annales, représentent une sorte d'enregistrement universel des expériences de chaque être vivant et de l'histoire de chaque endroit de l'univers, une empreinte éternelle où toute information est préservée. La corrélation entre cette idée et celle d'une conscience éternelle devient alors fascinante. Cet essai de réflexion, que j'ai baptisé "l'Hypothèse Divine" depuis 2017, suscite de nouvelles et passionnantes interrogations. Bien sûr, ces concepts restent spéculatifs et nécessiteraient une validation empirique.


9. L'expérience 5D


Dans cette expérience de pensée, appelée "l'expérience 5D", considérons une pièce de monnaie posée sur une table. 


Une machine spéciale, équipée d'une pointe de traçage d'une finesse extrême n'ayant aucune épaisseur au contact de la surface, commence à dessiner une spirale parfaite de l'extérieur vers l'intérieur sur cette pièce. Cette précision garantit une trajectoire sans risque de double contact avec les spires déjà parcourues. Ainsi, ce voyage en spirale peut se poursuivre indéfiniment, s'enfonçant sans fin dans le subatomique, explorant des échelles toujours plus petites sans jamais atteindre une limite, illustrant l'infinité du monde à l'échelle microscopique.


La machine peut parcourir la spirale à une vitesse remarquable, environ 60 km/h, de manière continue et précise, avec des spires de plus en plus fines à mesure qu'elles se dessinent. Après seulement quelques minutes de travail de la machine, nous prenons le bout immatériel de la spirale d'espace parcouru, embarquons à bord de l'ÉterniGo, et partons en direction de la lune.


En déroulant la spirale à la moitié de la vitesse de la machine, soit 30 km/h, la pointe maintient sa trajectoire à 30 km/h sur la pièce (60 km/h moins les 30 km/h déroulés). Ainsi, toute la distance parcourue par nous est synchroniquement parcourue de manière parallèle et symétrique en distance par la pointe dans l'infiniment petit sur la pièce. Nous continuons ce processus tout au long de notre vie, soit 70 ans, en direction de la lune.


Ce qui devient fascinant, c'est que malgré la surface minuscule de la pièce et la vitesse relativement basse de 30 km/h, la distance que nous aurions parcourue en déroulant cette spirale serait bien supérieure à la simple distance jusqu'à la lune. En 70 ans à une vitesse constante de 30 km/h, cela représenterait : 30 km/h x 24 h/jour x 365 jours/an x 70 ans = 613 200 km. La distance jusqu'à la lune est seulement de 384 400 km, soit presque le double. Ce qui est encore plus étonnant, c'est que cette distance se serait parcourue de manière totalement symétrique sur la pièce de monnaie dans le subatomique ! L'expérience ne s'arrête pas là : après notre mort, l’ÉterniGo continuerait son voyage vers d'autres galaxies indéfiniment. La spirale ne se déroulerait jamais plus que les premiers jours où nous l'avions commencée, car sa dimension serait infinie, et la spirale serait en 5D.


10. L'importance de la spirale 5D pour comprendre la nature de l'infini


Ainsi, l'expérience 5D nous parle à nouveau de l'importance de la spirale 5D pour comprendre la nature de l'infini. C'est un objet mental très utile pour comprendre que dans la 5D, il n'y a plus de notion de grand ou petit. L'ADN, cette double hélice complexe présente au cœur de chaque cellule vivante, est un excellent exemple de cela. Lorsqu'elle est enroulée sur elle-même, sa dimension est d'un millionième de millimètre. Cependant, lorsque nous déroulons cette structure en spirale, nous découvrons qu'elle mesure une distance hallucinante, atteignant environ deux mètres. 


Cette échelle de grandeur incroyable, passant du nanomètre à quelque chose de si long, nous rappelle que les notions de taille sont relatives. Mais contrairement à l'ADN qui présente une limite physique matérielle, puisque notre spirale 5D est un parcours, elle n'est pas faite de matière, ce qui permet à ses enroulements de rejoindre sans difficulté l'infiniment long en distance parcourue dans la 5D, à travers un voyage sans fin dans l'infiniment petit. Cette démonstration souligne la présence de la 5D dans les choses les plus infimes de l'univers et l'interconnexion permanente de la 5D à travers toutes les dimensions, où toutes les notions de grandeur s'effacent à jamais dans cette dimension ultime de l'infini.


11. L’expérience de la stature


L'expérience 5D montre que la frontière entre l'infiniment grand et petit dépend de notre taille corporelle. Pour s’en rendre compte, faisons une nouvelle expérience de pensée notre taille corporelle. Grâce à la fiction de l'ÉterniGo, imaginons-nous agrandir à l'échelle de notre galaxie ; notre système solaire nous paraîtrait alors comme un grain de sable. Inversement, en réduisant notre taille à celle d’un atome, un grain de sable paraîtra immense comme une planète.


La stature révèle que, dans la dimension 5D, la distinction entre grand et petit disparaît. Le monde varie selon la stature de l'observateur. En ajustant notre stature avec l'ÉterniGo, nous pouvons changer notre perception du monde, le rendant indéfiniment petit ou grand. Ainsi, le monde paraîtra plus petit pour une baleine que pour un virus.

12. Le PFS “Point de Fuite Spatial” un élément majeur pour comprendre l’illusion de la vitesse


Comme le montrent nos expériences de pensée avec l’EterniGo, dans un univers infini sans bord en 5D, la perception de ce qui est grand ou petit dépend entièrement de notre taille corporelle. Mais alors, si notre perception change avec notre taille, cela influe également sur la vitesse perçue.


La vitesse d’un objet se déplaçant à 1 cm par heure, tel que l’EterniGo lors de son voyage depuis l’éternité, peut nous sembler extrêmement lente, au point de sembler immobile si nous ne l’observons pas suffisamment longtemps. Cependant, si nous réduisions notre taille à celle d’un virus, cette même vitesse nous paraîtrait incroyablement rapide, car l’espace parcouru de 1 cm/h semblerait immense à notre échelle réduite.


Cette relativité du mouvement est également observée en raison de l’éloignement d’un objet en perspective. Par exemple, une fusée au décollage apparaît gigantesque et en mouvement important, mais devient progressivement plus petite et semble s’immobiliser comme une étoile immobile dans le ciel, avant de disparaître à notre vue. Ce point de disparition est appelé en perspective le “point de fuite”, où tous les objets s’éloignant suffisamment loin convergent pour finir par y disparaître de notre vue. Cela ne signifie pas que l’objet a cessé d’exister, mais simplement qu’il est sorti du champ de nos perceptions sensorielles.


Le “Point de Fuite Spatial” (PFS) que j’ai conceptualisé désigne la limite où un objet ou un mouvement cesse d’être perçu non plus en raison de l’éloignement, comme avec la perspective, mais en raison de la stature de l’observateur. Ainsi, le PFS détermine le moment où notre environnement devient caché à notre perception. Si nous ajustons notre stature à celle d’un atome, la frontière du PFS, entre le visible et l’invisible, change radicalement, de même que si l’on s’agrandit à la taille d’une galaxie, le monde des mouvements très rapides, tel que l’avancement de la station spatiale internationale (ISS) qui avance à une vitesse de 28 000 km/h, semblerait immobile. Cela illustre comment notre stature influence profondément notre perception de la vitesse dans l'infiniment grand et l'infiniment petit. Pour nous, avec une stature invariable, l'infiniment grand et l'infiniment petit apparaissent comme distincts, mais cette distinction s'estompe au sein de la "Spirale 5D". Que ce soit un millimètre ou cent milliards d'années-lumière coupés de cette spirale, cela ne la déroulerait pas davantage et occuperait toujours un espace négligeable en son sein.


Le PFS illustre la subjectivité de notre perception spatiale. En ajustant notre stature à l’échelle d’un atome ou d’une galaxie, par la fiction de l’EterniGo, nous voyons que notre perception de la vitesse et de la taille est intrinsèquement liée à notre stature. Le PFS révèle que notre vision tridimensionnelle du monde est incomplète, suggérant que des espaces infiniment petits dans le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) échappent à notre perception en raison de cette frontière perceptive dans le microscopique. 


13. Le PFT “point de fuite temporel” une notion essentielle pour comprendre que la TMPT ne peut pas traversé un PE/MR. 

Tout comme le "Point de Fuite Spatial" (PFS) définit une frontière entre le visible et le microscopique, en fonction de notre stature, il existe également un autre point de fuite que j’ai nommé le “point de fuite temporel” (PFT). Ce point indique que notre champ du “temps” perceptible, établi par la tranche minimum de perception temporelle (TMPT), rencontre une frontière au-delà de laquelle toute perception sensorielle de temps devient impossible, en raison de l'infiniment court de l'éternité dans le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR).


Cette frontière sépare, d'un côté, le domaine du visible, la TMPT, de l'imperceptible, le “point de fuite temporel” (PFT). Le PFT masque à la conscience l'éternité du PE/MR, obstruant tout accès à la dimension éternelle dans l'ultracourt du PE/MR.


Le PFT ne constitue pas une durée minimale, mais plutôt un point de fuite, à l'image de l'horizon, qui représente une frontière entre ce qui demeure caché au-delà de lui et ce qui se révèle visible devant sa ligne.


Ainsi, le “point de fuite temporel” (PFT), également appelé "l’horizon temporel", est un point situé sur la ligne d'horizon de nos perceptions temporelles. Lorsqu'un œuf tombe au sol dans le PE/MR, parcourant successivement une première zone médiane puis une seconde et ainsi de suite, à l'infini, l'espace restant se réduit de plus en plus jusqu'à atteindre ce “point de fuite temporel” (PFT) lorsque la moitié restante passe derrière la dernière “tranche minimum de perception temporelle : TMPT” et passe ainsi derrière le PFT. À ce moment, l'action cesse d’être consciente et passe derrière “l’horizon temporel” dans l'ultracourt sans fin éternelle du PFT. Tout ce qui est derrière l’horizon ne peut plus apparaître à la conscience des “tranches minimum de perception temporelle : TMPT” car elle s'étend dans l'éternité 6D, impalpable pour notre conscience.


Ainsi, lorsque le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR) passe derrière “l’horizon temporel”, l'éternité est alors masquée par le “point de fuite temporel” (PFT). Tant qu'un événement ne franchit pas le PFT, il ne peut émerger en “tranche minimum de perception temporelle : TMPT” dans notre conscience et reste alors dans l'infiniment court sans fin de l'éternité du PE/MR.


Par conséquent, notre conscience est leurrée, ne percevant qu'une durée toujours limitée entre l'horizon et notre position quelque soit la situation, “L’horizon Temporelle” nous cache toujours l’éternité du PE/MR.


Lorsqu'un œuf tombe au sol, traversant le PE/MR, il atteint un point sans retour par épuisement des TMPT, qui mène derrière “L’horizon Temporelle”  du PFT, créant l'illusion de la finitude de l'action. Une fois les TMPT, qui segmentent la trajectoire de l'œuf de A vers B, épuisées, l'œuf semble se briser au sol en franchissant la ligne d’horizon. C'est l'illusion résultant du fait que l'éternité demeure imperceptible au-delà de “L’horizon Temporelle”  qui crée l’impression que le temps s’écoule.


C'est pourquoi il est crucial de ne pas percevoir la “tranche minimum de perception temporelle : TMPT” comme une durée soumis à un "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PE/MR). En réalité, le TMPT est perçu comme un instant fugace, une illusion, due à l'obstruction du PE/MR par l'horizon temporel. Ainsi, le mouvement de l'œuf, considéré dans ce cadre, est lui-même une illusion. Admettre le mouvement comme une réalité tangible reviendrait à ignorer que, dans l'éternité de l'ultracourt, cachée derrière cet horizon temporel, le PE/MR est infini, dans un univers dont l'origine plonge dans un "jamais commencement".


Ma théorie cherche donc à apporter une explication à l'apparition et à la conclusion des actions dans un univers exempt de cause première. À mon sens, l'approche par la "fenêtre de vie" et les TMPT constitue une tentative sérieuse d'expliquer les paradoxes ancestraux du PE/MR soulevés par Zénon. D'après cette interprétation, le temps est une illusion, et nous vivons dans ce que l'on peut appeler un "univers bloc", où la séquentialité est une construction de notre perception limitée.